Bio

2020.

Ils n’ont pas fini.

Cinq ans après la sortie de son dernier album “Que s’élève la poussière”, Tess s’illustre à nouveau. Alors qu’on aurait pu les croire assagis, endormis, qui aurait pu croire que la rage était toujours là, au creux de leurs mains ? Rien n’a changé. Ou plutôt, tout a changé et tout est pire. Il a fallu du temps pour s’imprégner, pour digérer, pour recracher

Les visages ont changé. Le line-up a évolué, mais la colère se transmet. Elle murit, aussi.

Pour son cinquième album, Tess ne fait plus de concession. Droit au but. Pas d’ornements, pas de paillettes, pas d’artifices. Juste la saleté crasse, moche, froide qui repousse. Juste la bêtise, triste, méprisable, inconsciente qui révulse.

Le quintet de Metz n’a pas fini. Pas encore. Il s’entête et brûle, brûle encore.

 

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